Roland Sénéca

Que les vents m’emportent

Nombreuses illustrations en pleine page de l’auteur.

88 pages ‒ 17 x 24 cm

«ne rien laisser à la mort»
me disait Georges Perros.
Mais le squelette
lui appartient
dès le premier jour.


Les édifices organiques et le verbe perçant se font face une nouvelle fois : le regard se perd dans les compositions – bribes de vivants, gorgés de fureur, envieux de sérénité – et l’esprit y effleure, grâce aux quelques mots lachés comme des pistes, la si précieuse vérité. Si la présence d’aucun des deux n’élucide le mystère de l’autre, ils offrent ensemble un signe neuf à investir, un pas de plus vers le songe. Des dessins la chair explose, jaillit, en amas de fibres, de bulbes et de racines osseuses, les mots, eux, tiennent de la légèreté, sont un clin d’œil à la vie, au corps et ses alentours. Cette œuvre énigmatique, intensément poétique, aspire le lecteur vers l’imaginaire : à chaque page, un dessin et quelques lignes finissent de ranimer l’esprit profond, d’en faire surgir l’essentiel.

ISBN : 978.2.37792.104.1
  • 30 exemplaires numérotés et accompagnés d’une suite de trois dessins originaux de Roland Sénéca.
    360 euros.
  • 770 exemplaires sur vélin.
    20 euros.